Podcast - episode 3
Engagements RSE et innovation : agir pour la planète et créer de la valeur
Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de notre podcast Impact Carrière by delaware.
Engagement, RSE et innovation : agir pour la planète et créer de la valeur aujourd’hui. Innover ne se limite plus à la technologie, c’est aussi adopter une démarche durable et construire des équipes inclusives. Chez delaware, l’innovation, la responsabilité environnementale et la diversité sont des piliers qui orientent chaque projet et chaque collaboration.
Dans cet épisode, nous plongeons au cœur de nos engagements quotidiens avec Inès Letissier, responsable RSE, et Apolline Herbinet, solution lead sur les sujets de durabilité.
Bonjour Inès, bonjour Apolline.
Pour commencer, pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vos rôles respectifs ?
Inès Letissier :
Je suis responsable RSE chez delaware depuis un an. J’ai repris le poste précédemment occupé par Apolline. Mon rôle au quotidien consiste à piloter notre stratégie RSE et à mettre en œuvre des projets qui permettent à delaware de devenir une entreprise plus vertueuse, en cohérence avec nos ambitions. Aujourd’hui, nous formons une équipe de deux personnes, ce qui renforce notre engagement.
Apolline Herbinet :
Merci Inès pour cette introduction. De mon côté, je suis Solution Lead en sustainability. C’est un intitulé un peu technique, que l’on peut traduire en français par “porteuse d’offre RSE” — ce qui n’est pas forcément plus clair. Concrètement, mon métier consiste à accompagner nos clients dans leur mise en conformité sur les sujets liés au développement durable. Cela inclut une phase amont avec les avant-ventes, c’est-à-dire les aider à choisir la solution adaptée et à construire le Go-to-Market.
Et une fois le projet signé, je les accompagne dans les premières étapes, souvent lors de la phase de cadrage.
Très bien ! Pour approfondir vos sujets, j’ai quelques questions à vous poser. Je vous propose de commencer avec toi, Inès, si tu es d’accord bien sûr.
Quel est l'objectif principal de la démarche RSE au sein d'une entreprise ?
Pour moi, la RSE est véritablement une boussole. Elle permet d’aligner la stratégie de l’entreprise avec les enjeux sociaux, environnementaux et donc sociétaux. Cela contribue à améliorer sa performance globale, mais aussi sa gestion des risques — ce qui est particulièrement crucial dans un contexte de réchauffement climatique.
Chez delaware, cela se traduit par notre raison d’être. La RSE guide notre manière de travailler et de collaborer. Nous voulons permettre à nos clients, à nos collaborateurs et à l’entreprise dans son ensemble d’atteindre leur plein potentiel pour avoir un impact positif sur le monde dans lequel nous vivons.
Comment s'organise la mise en œuvre de la démarche RSE chez delaware ?
Elle repose sur trois piliers :
- We Commit We Respect : centré sur l’environnement et la planète.
- We Commit We Care : dédié aux enjeux sociaux, avec une attention particulière portée à nos parties prenantes internes et externes.
- We Commit We Enable : axé sur la performance durable, davantage orienté vers l’externe et le volet business.
Ces piliers se déclinent au quotidien en actions concrètes, pilotées par l’équipe RSE. Ils sont également animés par des task forces transverses qui dynamisent l’ensemble de cette initiative.
Quels sont les grands axes sur lesquels delaware agit pour réduire son impact environnemental ?
Tout d’abord, pour pouvoir agir, il a fallu mesurer. C’était le point de départ : réaliser notre bilan carbone.
Depuis, nous nous sommes engagés dans une trajectoire de réduction. Nous avons l’ambition de faire certifier nos engagements par la SBTi (Science Based Targets initiative), qui garantit que les objectifs de réduction des entreprises sont alignés avec les accords de Paris, afin de limiter le réchauffement climatique à 1,5 voire 2 degrés.
Au quotidien, de nombreuses initiatives accompagnent cette démarche de réduction. Par exemple, le forfait mobilité durable, accessible à tous les collaborateurs, encourage des modes de transport plus responsables.
Nous agissons également sur la gestion des déchets, notamment en agence, et nous cherchons à limiter les déplacements, qui représentent un poste d’émission très important chez nous.
Quelles initiatives delaware met-elle en place pour promouvoir la diversité et l'inclusion au sein de ses équipes ?
Nous avons mis en place une charte diversité et inclusion, ainsi qu’un canal de signalement. Ces outils posent les bases, mais nous cherchons à aller plus loin.
Nous formons le management et les équipes dirigeantes à la prévention et au traitement des comportements discriminatoires, notamment les violences sexistes et les discriminations envers les personnes LGBTQIA+. Nous menons également des actions de sensibilisation auprès des collaborateurs.
Ce plan d’action est structuré et encadré par des procédures, et soutenu par des task forces dédiées à des thématiques spécifiques, comme la parentalité.
Sur le sujet de la parentalité, l’objectif est de favoriser l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, et d’accompagner les parents ou futurs parents dans cette transition.
Nous avons publié un guide de la parentalité qui récapitule les démarches administratives liées à l’entreprise, les obligations légales, ainsi que les avantages disponibles chez delaware.
Grâce à la task force, les collaborateurs peuvent bénéficier d’une allocation de services à la personne pour financer du baby-sitting, de l’aide ménagère, etc. Cette aide s’élève à 50 € par mois, cumulables sur l’année — une avancée significative qui témoigne de notre volonté d’aller encore plus loin.
Peux-tu donner un exemple concret d’initiative RSE portée par delaware qui t’a particulièrement marqué ?
Oui, il y en a une qui m’a vraiment marquée : Team Starter.
Team Starter, c’est une plateforme de financement participatif interne, accessible à tous les collaborateurs. Chaque personne dispose de 20 € crédités dans une cagnotte personnelle, qu’elle peut utiliser pour financer ou porter des projets. Ces projets peuvent être liés à la cohésion d’équipe, à des causes solidaires, à des initiatives environnementales, ou même combiner les trois.
Ce qui est formidable, c’est que chacun peut proposer son propre projet, qui sera ensuite soutenu par d’autres collègues. Parfois, cela prend une ampleur considérable, avec de véritables levées de fonds pour des associations.
Cette initiative permet de faire vivre la RSE de manière participative au sein de l’entreprise. Ce qui m’a le plus impressionnée en arrivant chez delaware, c’est de voir à quel point la RSE est incarnée dans les pratiques quotidiennes.
Et en plus, cela reflète parfaitement notre valeur d’entrepreneuriat.
Quelles actions sont mises en place pour encourager l'engagement des collaborateurs dans la RSE ?
J’en ai déjà parlé un peu plus tôt : les task forces sont essentielles. Ce sont des groupes de travail dans lesquels des collaborateurs volontaires, les #peopleofdelaware, s’engagent pour mettre en place des actions concrètes.
Chacun participe selon son temps disponible et ses compétences. Ces task forces sont très diversifiées en termes de profils, ce qui permet de faire émerger des initiatives adaptées aux problématiques réelles et à la diversité des salariés. C’est une manière de travailler vraiment enrichissante.
Un bon exemple est celui de la Sororité, une initiative bien connue d’Apolline. Elle agit pour l’égalité femmes-hommes chez delaware à travers trois comités :
Ces comités portent notre politique d’égalité en collaboration étroite avec les RH et le CSE. Cette approche transversale est une vraie force.
En résumé, n’importe qui peut porter un sujet en interne — et c’est même fortement encouragé.
Il y a régulièrement des appels à candidatures pour intégrer les task forces, ce qui permet de recruter des personnes avec de nouvelles idées.
La communication autour de ces initiatives peut aussi susciter des vocations : par exemple, quelqu’un peut se dire « moi aussi j’ai envie de m’investir sur le handicap », et c’est génial de voir ça au quotidien.
Cela permet également de travailler ensemble, en réunissant des profils qui ne se croiseraient pas autrement — comme des fonctions support et des consultants — pour collaborer main dans la main. Et c’est exactement ce qu’on recherche : une dynamique collective, inclusive et engagée.
Comment évalues-tu les progrès de delaware sur ses objectifs RSE ?
Nous venons tout juste de mettre en place des indicateurs de suivi RSE, qui sont désormais suivis via une plateforme analytique appelée Control Tower — Apolline expliquera son fonctionnement un peu plus tard.
Aujourd’hui, nous définissons nos ambitions, mais il est encore un peu tôt pour mesurer précisément l’évolution de notre politique. Ce qui est certain, c’est qu’elle a déjà eu un impact très positif sur l’entreprise.
Un signal fort de cette évolution, c’est qu’il y a trois ans, une seule personne travaillait sur la RSE. Aujourd’hui, nous sommes deux à temps plein, accompagnés par une vingtaine de collaborateurs engagés dans les task forces RSE.
Je trouve que c’est un indicateur clair que nous allons dans la bonne direction.
L’objectif est désormais de monitorer ces KPI au fil du temps pour savoir si nous progressons comme prévu, et ajuster nos actions en conséquence — notamment à travers les task forces.
Quel rôle joue la RSE dans la stratégie de développement de l'entreprise ?
La RSE est au cœur de notre stratégie. Ce n’est pas un élément périphérique, mais bien un levier d’amélioration, d’attractivité et d’innovation chez delaware.
À un niveau stratégique, nous avons même lancé un comité RSE chargé de définir les axes prioritaires, de suivre les avancées, les projets et les KPI, afin d’adapter notre politique en continu.
Aujourd’hui, la RSE fait pleinement partie de la stratégie globale de delaware.
Quelles sont les attentes des clients en matière de RSE et comment delaware y répond ?
Les clients attendent avant tout de la transparence. Ils veulent que nous leur fournissions des preuves concrètes de nos engagements, et c’est tout à fait légitime — nous aussi, nous attendons cette transparence de leur part.
Cela nous permet de guider nos choix et de renforcer notre crédibilité, non seulement auprès des clients, mais aussi des prestataires.
Aujourd’hui, les clients attendent également que nous les aidions à réduire l’empreinte de leurs projets. Ils souhaitent que nous soyons proactifs dans nos propositions, pour rendre leurs projets toujours plus vertueux, que ce soit sur le plan social ou environnemental.
On va passer maintenant à toi Apolline, j’ai quelques questions pour toi également.
Quel rôle joue le développement durable dans la stratégie commerciale de delaware selon toi ?
C’est une très bonne question. Le développement durable joue un rôle de plus en plus important dans notre stratégie commerciale. La preuve : le poste de solution lead sustainability n’existait pas il y a encore deux ans. Comme l’a dit Inès dans son introduction, notre stratégie RSE repose sur trois piliers, dont l’un est le pilier profit.
Ce pilier englobe des enjeux comme l’éthique et la lutte contre la corruption, qui relèvent de notre responsabilité en tant qu’entreprise. Mais il inclut aussi la manière dont nous aidons nos clients à répondre à leurs propres enjeux RSE.
Avec la multiplication des réglementations RSE, nous avons constaté que nos clients ont de plus en plus besoin de solutions pour suivre leur stratégie, s’améliorer et se conformer aux normes.
C’est pourquoi nous avons développé une offre complète, à la fois sur SAP et Microsoft, pour les accompagner sur ces sujets.
Aujourd’hui, le développement durable occupe une place prédominante dans notre stratégie commerciale. C’est même un élément différenciateur par rapport à certains de nos concurrents.
Par exemple, lorsqu’un client lance un appel d’offres pour un projet ERP, il y a de plus en plus souvent une demande implicite : « Très bien pour l’ERP, mais comment intégrer les KPI RSE dans le projet ? »
Car en réalité, tout est intrinsèquement lié.
Comment intègres-tu les enjeux environnementaux en développant des solutions IT pour les clients ?
C’est une question qui nous est souvent posée. On entend beaucoup parler de Green IT, et concrètement, cela revient à se demander : comment développe-t-on des solutions les moins énergivores possible ?
Prenons un exemple simple : lorsqu’on navigue sur un site internet pour acheter une robe, chaque clic consomme de l’énergie. Il est donc essentiel que le parcours utilisateur jusqu’au panier soit le plus efficient possible.
Et c’est exactement pareil lorsqu’on développe une solution ou un système informatique.
Chez delaware, nos consultants n’ont rien de magique — ils appliquent simplement les bonnes pratiques d’un code efficient, qu’ils maîtrisent déjà.
On s’est posé la question de les former davantage pour obtenir un label ou un logo “green”, mais ce n’est pas forcément nécessaire. Cela pourrait même risquer de tomber dans le greenwashing.
En revanche, nous leur rappelons régulièrement les bonnes pratiques, car c’est leur métier, et ils sont experts dans ce domaine.
Finalement, il n’y a pas de différence majeure à ce niveau : c’est quelque chose d’assez simple à mettre en place au quotidien.
Simple ? Je ne sais pas, ce n’est pas mon métier. Mais ce que je peux dire, c’est que c’est intégré depuis longtemps dans nos pratiques.
Nous respections déjà ces principes avant même de formaliser notre démarche RSE, et c’est quelque chose auquel nous tenons vraiment.
Quels sont les projets les plus marquants en matière de développement durable qui illustrent cette démarche d’innovation ?
Il y en a beaucoup, mais je dirais que l’un des plus marquants est un projet récent que nous avons signé avec une entreprise située en Côte d’Ivoire.
C’est assez surprenant, car on pourrait penser que nos premiers clients sur ces sujets seraient en France ou en Europe, là où les réglementations sont les plus strictes. Mais comme le disait Inès, il y a un véritable effet boule de neige avec les réglementations : on attend des grandes entreprises qu’elles soient responsables, et par effet rebond, leurs fournisseurs — même à l’international — sont aussi impactés.
Ce qui est remarquable, c’est que des pays comme la Côte d’Ivoire n’attendent pas d’être dos au mur pour agir. Ils investissent, ils s’engagent, et je trouve ça vraiment inspirant.
Cela montre que les efforts que nous observons sur le territoire européen dépassent largement nos frontières et qu’un véritable mouvement collectif est en train de se mettre en place.
Donc oui, aujourd’hui, je dirais que ce projet en Côte d’Ivoire est l’un des plus marquants.
Peux-tu nous parler d'une initiative IT for Green qui a vraiment aidé un client à réduire son empreinte carbone ?
Oui, bien sûr. Le calcul de l’empreinte carbone n’est pas simple, notamment parce qu’il repose sur trois scopes. Le scope 3, en particulier, est le plus complexe : il concerne toutes les émissions liées à l’amont et à l’aval des activités, comme les transports, le packaging, etc.
Ces données sont souvent détenues par des prestataires directs ou indirects, ce qui rend leur collecte difficile.
Quand nous avons lancé notre bilan carbone chez delaware, nous avons constaté que la majorité de nos émissions provenaient des déplacements professionnels : train, avion, etc.
Au départ, nous utilisions des données financières — par exemple, “30 € dépensés pour un billet de train” — mais ces montants varient selon la saison, ce qui rend l’information peu fiable.
Nous avons alors réalisé que nous avions déjà toutes les données utiles dans nos PDF : les tickets de train et d’avion contiennent des informations exploitables.
Nous avons donc développé un outil interne capable de détecter automatiquement :
- le type de transport (TER, TGV, vol court ou long courrier),
- la ville de départ et d’arrivée,
- la distance parcourue,
et d’y appliquer un facteur d’émission précis.
En plus, l’outil génère une carte interactive. Par exemple, Inès peut visualiser que les trajets entre Lyon et Nantes sont très polluants, car il y a moins de trains et plus de vols. Elle peut alors mettre en place un plan d’action ciblé.
Ce système nous fait aussi gagner du temps, car au lieu de traiter chaque billet manuellement, tout est automatisé presque instantanément.
Ce projet, né en interne, a ensuite été répliqué chez nos clients, avec des adaptations selon les types de données disponibles — comme les factures d’électricité, où l’on passe de “30 € dépensés” à “X kilowatts consommés”.
C’est un projet dont nous sommes très fiers, car il apporte de la valeur réelle à nos clients en matière de réduction d’empreinte carbone.
Donc c’est à la fois de la précision et de la rapidité ?
Exactement ! C’est le jackpot.
Comment sensibilises-tu les clients aux bonnes pratiques pendant les projets ?
Ce n’est pas toujours facile, car la RSE et le développement durable sont encore des sujets assez nouveaux pour beaucoup d’entreprises.
Les projets RSE mobilisent de nombreux métiers : les RH, les services généraux, les achats… Et parfois, ces interlocuteurs sont très éloignés du sujet. Pourtant, ce sont eux qui détiennent les informations sources essentielles.
Il faut donc faire preuve de beaucoup de pédagogie. L’objectif est de leur faire comprendre que c’est un effort collectif, et que nous ne sommes pas là pour leur compliquer la tâche, mais au contraire pour valoriser leur investissement.
Même si la démarche est souvent initiée pour des raisons légales, nous les aidons à en tirer de la valeur, tout en optimisant le temps qu’ils y consacrent.
Quand ce message passe bien, les choses deviennent plus simples. Et de plus en plus souvent, nous voyons des sponsors RSE dans des fonctions haut placées : des DAF, voire des DG.
Avoir une direction impliquée dans ces projets structurants, c’est un vrai levier pour leur réussite.
En quoi penses-tu que l’innovation durable peut devenir un vrai avantage pour une entreprise ?
Cette question touche à plusieurs points que j’ai déjà évoqués. Le premier, c’est que l’innovation durable devient rapidement un avantage concurrentiel. Aujourd’hui, une entreprise ne peut plus se permettre de faire du greenwashing.
Cet avantage se manifeste à plusieurs niveaux :
- Du côté des clients : si l’on peut choisir entre deux entreprises à tarif équivalent, on ira naturellement vers celle qui est plus responsable.
- Du côté des collaborateurs : de plus en plus de personnes souhaitent rejoindre ou rester dans une entreprise vertueuse.
Et in fine, sur le chiffre d’affaires : plus de clients, plus de talents qualifiés… cela ne peut qu’améliorer le fonctionnement global de l’entreprise.
C’est donc un premier levier fort.
Le second levier, c’est l’innovation elle-même. Aujourd’hui, la RSE est souvent perçue comme une contrainte légale, mais elle peut être transformée en opportunité de création de valeur.
Par exemple, si je sais précisément d’où vient la plus grande part de mon empreinte carbone, je peux mettre en place des plans d’action pertinents, gagner en efficience, et souvent stimuler la créativité et l’innovation.
On voit des entreprises — parfois même concurrentes — s’associer pour créer des centres de collecte dans des zones où il n’en existe pas encore.
Il existe des milliers d’initiatives qui montrent que, lorsqu’on prend le temps de réfléchir, l’innovation durable devient une véritable source de progrès.
Et enfin, dernière question : quels axes de développement vois-tu pour la sustainability chez delaware dans les prochaines années ?
Bonne question ! Je ne vois que du développement positif.
Aujourd’hui, le sujet sur toutes les lèvres, c’est l’intelligence artificielle. Chez delaware, nous avons d’ailleurs un solution lead dédié à l’IA, avec qui nous travaillons activement pour intégrer cette technologie dans nos offres en sustainability.
L’objectif est de gagner en efficience, tout en restant vigilants face aux effets rebonds potentiellement néfastes, notamment en matière d’empreinte carbone.
Les solutions proposées par SAP et Microsoft sont encore très récentes, mais elles ne cessent de s’améliorer. Nous allons donc continuer à investir et à innover dans ce domaine.
Autre axe fort : l’élargissement des équipes.
Aujourd’hui, nous sommes près d’une dizaine en France à travailler sur ces sujets, et à l’échelle internationale, cela monte rapidement à 20 ou 30 personnes.
Cela reflète une ambition croissante, avec des visions variées sur les aspects environnementaux, sociaux, de gouvernance, mais aussi techniques et d’accompagnement.
C’est un champ très vaste, et comme l’a dit Inès, cela fait pleinement partie de nos valeurs d’avancer sur ces sujets, en particulier en accompagnant nos clients.
Je suis convaincue que l’avenir sera vertueux et positif, et j’espère que nous continuerons à progresser dans cette direction.
Merci à vous, Inès et Apolline, d’avoir accepté mon invitation et pour ces échanges très enrichissants.
— Merci pour l’invitation !
Ce qu’on retient de cet échange ?
Chez delaware, les engagements RSE font partie du quotidien. Ce n’est pas juste une case à cocher, mais un véritable moteur pour avancer autrement, avec plus de sens — que ce soit dans les projets, avec les équipes ou avec les clients.
Si vous cherchez un environnement qui rime avec impact, et où chacun peut faire bouger les lignes à son niveau, chez delaware, c’est exactement ce que nous construisons chaque jour.
Alors n’hésitez pas à faire un tour sur notre page carrière pour découvrir toutes les opportunités du moment.
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À bientôt !