Ce que nous avons lu pour vous: Etre ou ne pas être ‘cloud-first’ ? Telle est la question ...

19 mars 2018
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10 ans après son apparition dans les cercles spécialisés, le cloud computing est devenu un élement incontournable de l’informatique d’entreprise. Le cabinet d’analystes Gartner estime que la technologie a désormais atteint son ‘plateau de productivité’ et représente à ce titre un investissement sûr et stable pour les entreprises.

Il n’empêche que donner la primauté au cloud – devenir ‘cloud-first’ – en faisant du cloud le nouveau modèle standard de déploiement de services informatiques est un pas que beaucoup d’entreprises hésitent encore à franchir.

L’opinion suivante aborde les 4 questions à se poser avant d’envisager de basculer des pans entiers d’une entreprise vers le cloud.

  • qui est concerné dans l’entreprise (quelles business units ?) par un modèle qui prône la dématérialisation de services dans le cloud (par opposition au déploiement logiciel classique) ?
  • qui intervient dans l’entreprise pour faire appliquer une telle politique ‘cloud-first’ ?
  • quand peut-on affirmer qu’une organisation est ‘cloud-first’ ?
  • comment gérer une telle organisation ?

Sans nécessairement apporter de réponses précises, la présente opinion – pas tout à fait neutre puisque provenant d’un expert de l’un des géants du cloud – a le mérite de fixer un certain nombre de définitions et repères et d’amener le CIO à s’intéresser à des questions fondamentales au sujet du cloud, partagées par ses collègues du C-level.
Car, comme l’écrit Stephen Orban, “quand elle est déployée dans l’ensemble d’une organisation, une stratégie cloud-first peut avoir un impact sur de nombreuses équipes en plus de l’équipe informatique. En effet, les services achat, juridique, financier, commercial et produits ont tous un rôle à jouer pour faire du cloud-first une réalité.”

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